Nathan Chevalier
Journal Intime d'un mouilleur de couches.

Marina – Diaper girl in public

Comme à l’accoutumée voici le trailer très vintage de la nouvelle série shooting photo et vidéo intégrale de Marina en short gainant. Ultra moulant et terrifiant à souhait. Encore tourné à Prague en Sept. 2003 (cela ne nous rajeunit pas). La petite particularité singulière dans cette vidéo est la présence d’un voleur opportuniste qui profite de la situation déjà bien cocasse. En effet ce connard lui vole son sac alors qu’elle est en train de changer sa couche dans la rue. A voir sans plus attendre : c’est par ICI (réservé aux abonnés).

Le quotidien d’un pisseux – Au travail

Plus je lis d’âneries sur le net, plus j’ai envie de rétablir la vérité. Loin des fantasmes des mouilleurs de couches à la petite semaine, l’incontinence n’est pas un fardeau, ni une tare. L’adaptabilité reste le maitre mot. Trouver des solutions et astuces pour vivre au mieux cette incontinence tout en restant discret. Au travail par exemple il m’a fallu user de stratagèmes variés afin de vivre pleinement cette nouvelle condition. Il faut dire que je m’y étais préparé déjà depuis de longues années. Avant même la première intervention (injection de botox au niveau des sphincters), j’avais pour habitude de porter régulièrement des couches au travail muni d’une sonde de foley. Compte tenu de ma profession où je devais marcher beaucoup, cette solution occasionnait des irritations et n’était pas pérenne. Car qui dit irritation, dit infection urinaire en devenir. Quoi qu’il en soit, j’ai vécu ainsi en semi incontinence plus de 5 années durant. J’ai fini par devenir parano avec cette maudite sonde, guettant le moindre signe d’infection urinaire qui m’avait déjà laissé par le passé de très mauvais souvenirs. Le plus dingue, c’est qu’une fois devenu réellement incontinent, j’ai conservé cette parano encore quelques années. Par exemple, je prenais mon bain avec un préservatif pour éviter l’eau de pénétrer dans mon zizi (ce qui est une absurdité m’a confirmé mon urologue).
Quelles sont mes astuces dans le monde du travail pour ne pas attirer l’attention?

C’est tout d’abord un travail sur soi. Se dire, se convaincre que « l’autre » n’est pas ton ennemi et qu’il n’a pas constamment ses yeux braqués sur ton entrejambe. C’est déjà le premier principe. S’accepter tel que l’on est sans chercher le mal dans les regards, les sourires des autres.

Adapter sa tenue vestimentaire. Bien sur, ce second principe est dépendant de votre de votre profession. En ce qui me concerne, j’ai du adapter mes pantalons et prendre une taille au dessus. Evitez les pantalons taille basse, moulants ou trop fins. Pour le haut j’ai opté pour des tee shirts assez longs et deux tailles au dessus de la mienne. Idem pour les pulls, les blousons… Concernant le choix de la protection, j’ai fait le tour des popotes. Tenté plusieurs marques avant de jeter mon dévolu sur la marque Rearz. Plus précisément des « Inspire ». J’avais besoin d’une protection pouvant tenir la journée de travail. Il me fallait une couche qui puisse facilement se repositionner aussi. En effet, si je suis incontinent urinaire, il m’arrive d’aller faire la grosse commission, aussi je dois pouvoir la dé-sctocher, puis la remettre en place. Inspire a coché toutes les cases donc c’est devenu ma couche de travail. Afin de prévenir d’éventuelles fuites, j’agrémente cette protection d’une culotte plastique. La « Suprima 1211 » ou plus récemment la « Airoliver 1002 » (qui est une copie conforme de la 1211). Quand l’hiver frappe à la porte, j’agrémente l’ensemble avec un body neutre. Ainsi équipé, ça tient statistiquement la journée (ou presque). Les statistiques étant parfois défaillantes*, environ 2 à 3 fois dans l’année, je dois me changer.

Comment faire pour changer sa couche en journée? Là aussi c’est une question d’adaptabilité. Si le monde ne s’adapte pas à vous, c’est à vous de vous adapter au monde. Là aussi j’ai trouvé une solution à la fois discrète et efficace : une sacoche aux dimensions adaptées. En effet, dans ma sacoche j’emporte toujours avec moi une couche de rechange et aussi un petit sac poubelle de salle de bain. Ainsi, si je dois me changer, je n’ai qu’à utiliser les WC de l’entreprise et jeter discrètement la couche mouillée dans la poubelle

* Une diurèse c’est la quantité d’urine produite en 24h. La diurèse normale est d’environ 1,5 L d’urine par 24 h (maximum 2 L). Soit pour une journée de travail de 8 heures environ 670 ml maximum. Ramené à l’heure, un être humain lambda produit environ 60ml d’urine par heure. Une couche inspire absorbe facilement cette quantité mais lorsqu’elle dépasse les 1200ml elle a tendance à fuir. Il m’est arrivé de constater un volume de pipi supérieur à 1200 ml en 8 heures soit 150 ml/heure. c’est rare mais ça m’est arrivé.

LNGU

Ou comment tirer un max de profit sous couvert associatif . C’est ce qu’a initié une boite nommée « LNGU ». Un groupe de personnes à la fois cupides, très organisées et diplômées des meilleures écoles de commerce. Le concept est assez simple : créer une « pseudo » nurserie pour adulte qui n’aura finalement q’un but à atteindre : attirer le couillon de base. Celui qui aime porter des couches et qui pense naïvement que cette « association » est définitivement trop géniale. Pour ce faire, les créateurs ont imaginé un stratagème bien ficelé : une forme d’abonnement via Patreon. En clair tu t’abonnes à hauteur de tes moyens pour avoir le droit mettre le premier pied « virtuel » dans cette nurserie. Virtuel, je précise, car seuls ceux qui ont vraiment les moyens auront un jour la possibilité de rencontrer leurs arnaqueurs. J’ai suivi avec intérêt le développement de leur stratégie machiavélique (je ne vois pas comment appeler cela autrement). Suivi aussi la communication qui va avec. Comment pervertir la communauté ABDL en leur faisant croire que dieu existe. J’avoue, il sont très doués. Le site de référence en la matière (un royaume dont je ne le nommerai pas par courtoisie), se laisse prendre au piège. La porte d’entrée de leur plan : convaincre la communauté ABDL. Pour y réussir, il faut retourner la tête du nouveau boss de la communauté : un certain Tolerare. Un type charmant mais malléable et loin du niveau de discernement cognitif de l’ancien boss : Kanbana . Ce site vintage publie donc donc une tribune dithyrambique sur LNGU. Il n’en fallait pas plus pour obtenir l’accréditation inconditionnelle de l’ensemble de la communauté. La nurserie ne verra jamais vraiment le jour. Bien sur, quelques privilégiés on eu l’honneur de pouvoir pénétrer cette « secte ». Mais uniquement ceux qui ont les moyens. Je veux dire : vraiment les moyens. Le plus accablant c’est qu’au bout de 3 ans, personne ne s’est encore rendu compte que ce n’est qu’une une pompe à fric. L’engouement pour cette nurserie a quelque peu décliné, mais les couillons de bases qui ne consultent jamais leur comptes se voient toujours débités d’une 20 aine d’euros par mois sans jamais rien voir venir. Faisons un petit calcul rapide. A une époque, cette boite « pleine de promesses » engrangeait quelque chose comme 1200 euros par mois. Désormais on est plutôt sur les 800 balles par mois. Sur 3 ans ça donne environ 40 000 euros de rentrées. Pas mal pour une boite qui n’a jusqu’alors publié que quelques vidéos et photos à la con pour tenir en haleine le couillon de base. 42 contributeurs, 42 abrutis qui versent en moyenne 20 euros/mois et permettent à cette boite d’escroquer 817 euros/mois à leurs victimes. Pas mal ! Chez LNGU c’est des promesses à gogo et des excuses récurrentes et innovantes par centaines. On peut affirmer que le covid a été l’excuse ultime. Avant covid, c’était plutôt le prétexte à la petite semaine. Le local qui n’avance pas aussi vite que prévu, leur déboires face aux prix de l’immobilier et j’en passe… Bref, Vous l’aurez compris, je ne porte pas ces doryphores dans mon coeur. J’irai même jusqu’à dire : c’était mieux avant. Avant, du temps de Nurse Véro, du temps de Nurse Nathy, du temps de Nurse Perla. Je les ai côtoyés. Je les ai vu bosser. On était loin du modèle économique optimisé de LNGU. De la nurserie à l’ancienne. Du temps où on prenait le temps. La communauté elle s’est acharnée sur ces nurses. Les traitant de putes. Pas étonnant qu’elle se soient toutes barrées. Aussi lorsque LNGU est arrivée avec son sac plein d’espoir. La communauté en quête d’idéal s’est laissée prendre au piège. Elle peut toujours se réveiller mais c’est comme convaincre un catholique que dieu n’existe pas, ou bien tenter de se masturber avec une râpe à fromage : beaucoup d’effort pour peu de résultat. Cerise sur le gâteau, c’est en homme libre que je parle aussi je me suis permis d’utiliser une de leur photo comme support à ce post. (Qui m’a bien fait marrer à écrire)….Fuck LNGU ?

error: Contenu protegé !!