Nathan Chevalier
Journal Intime d'un mouilleur de couches.

LNGU

Ou comment tirer un max de profit sous couvert associatif . C’est ce qu’a initié une boite nommée « LNGU ». Un groupe de personnes à la fois cupides, très organisées et diplômées des meilleures écoles de commerce. Le concept est assez simple : créer une « pseudo » nurserie pour adulte qui n’aura finalement q’un but à atteindre : attirer le couillon de base. Celui qui aime porter des couches et qui pense naïvement que cette « association » est définitivement trop géniale. Pour ce faire, les créateurs ont imaginé un stratagème bien ficelé : une forme d’abonnement via Patreon. En clair tu t’abonnes à hauteur de tes moyens pour avoir le droit mettre le premier pied « virtuel » dans cette nurserie. Virtuel, je précise, car seuls ceux qui ont vraiment les moyens auront un jour la possibilité de rencontrer leurs arnaqueurs. J’ai suivi avec intérêt le développement de leur stratégie machiavélique (je ne vois pas comment appeler cela autrement). Suivi aussi la communication qui va avec. Comment pervertir la communauté ABDL en leur faisant croire que dieu existe. J’avoue, il sont très doués. Le site de référence en la matière (un royaume dont je ne le nommerai pas par courtoisie), se laisse prendre au piège. La porte d’entrée de leur plan : convaincre la communauté ABDL. Pour y réussir, il faut retourner la tête du nouveau boss de la communauté : un certain Tolerare. Un type charmant mais malléable et loin du niveau de discernement cognitif de l’ancien boss : Kanbana . Ce site vintage publie donc donc une tribune dithyrambique sur LNGU. Il n’en fallait pas plus pour obtenir l’accréditation inconditionnelle de l’ensemble de la communauté. La nurserie ne verra jamais vraiment le jour. Bien sur, quelques privilégiés on eu l’honneur de pouvoir pénétrer cette « secte ». Mais uniquement ceux qui ont les moyens. Je veux dire : vraiment les moyens. Le plus accablant c’est qu’au bout de 3 ans, personne ne s’est encore rendu compte que ce n’est qu’une une pompe à fric. L’engouement pour cette nurserie a quelque peu décliné, mais les couillons de bases qui ne consultent jamais leur comptes se voient toujours débités d’une 20 aine d’euros par mois sans jamais rien voir venir. Faisons un petit calcul rapide. A une époque, cette boite « pleine de promesses » engrangeait quelque chose comme 1200 euros par mois. Désormais on est plutôt sur les 800 balles par mois. Sur 3 ans ça donne environ 40 000 euros de rentrées. Pas mal pour une boite qui n’a jusqu’alors publié que quelques vidéos et photos à la con pour tenir en haleine le couillon de base. 42 contributeurs, 42 abrutis qui versent en moyenne 20 euros/mois et permettent à cette boite d’escroquer 817 euros/mois à leurs victimes. Pas mal ! Chez LNGU c’est des promesses à gogo et des excuses récurrentes et innovantes par centaines. On peut affirmer que le covid a été l’excuse ultime. Avant covid, c’était plutôt le prétexte à la petite semaine. Le local qui n’avance pas aussi vite que prévu, leur déboires face aux prix de l’immobilier et j’en passe… Bref, Vous l’aurez compris, je ne porte pas ces doryphores dans mon coeur. J’irai même jusqu’à dire : c’était mieux avant. Avant, du temps de Nurse Véro, du temps de Nurse Nathy, du temps de Nurse Perla. Je les ai côtoyés. Je les ai vu bosser. On était loin du modèle économique optimisé de LNGU. De la nurserie à l’ancienne. Du temps où on prenait le temps. La communauté elle s’est acharnée sur ces nurses. Les traitant de putes. Pas étonnant qu’elle se soient toutes barrées. Aussi lorsque LNGU est arrivée avec son sac plein d’espoir. La communauté en quête d’idéal s’est laissée prendre au piège. Elle peut toujours se réveiller mais c’est comme convaincre un catholique que dieu n’existe pas, ou bien tenter de se masturber avec une râpe à fromage : beaucoup d’effort pour peu de résultat. Cerise sur le gâteau, c’est en homme libre que je parle aussi je me suis permis d’utiliser une de leur photo comme support à ce post. (Qui m’a bien fait marrer à écrire)….Fuck LNGU ?

Dany, Diaper Girl in Public

Voici le trailer d’une nouvelle venue dans le petit monde de Diaper Girl in Public. Dany, une brunette qui n’a décidément pas froid aux yeux. La vidéo complète dure env 25 min. Avec le shooting photo associé. Tournée à Prague en Sept 2003, il y a presque 20 ans. Cela ne nous rajeunit pas. La vidéo et le shooting restent accessibles au abonnés de mon site qui je le rappelle est entièrement gratuit. C’est par ICI.

La vie réserve parfois bien des surprises

Deux petites anecdotes notables le mois dernier m’ont amusé. Vous êtes pourtant aguerri, en qualité de pisseux averti, à ces petits riens qui peuvent vous foutre la honte. La vie se charge toujours de vous surprendre par des tranches de vie que vous n’auriez jamais pu imaginer. Dernièrement , deux bouts de tranche de vie sont venus titiller mon lourd secret bien gardé. Le premier, coté professionnel. Ma boite décide de changer les vêtements de travail de l’entreprise. A ce titre, elle lance une campagne d’essayage pour déterminer quelle taille vous sied le mieux. Je n’ai pas le choix d’esquiver ce rendrez-vous, ça aurait semblé bizarre, Je me rends donc à ce maudit essayage. J’arrive pas vraiment rassuré et la gérante de ce joyeux bordel me regarde de tête en pied. Un peu comme au service militaire, elle me scanne du regard, pose quelques secondes de silence puis me lance : « taille S, voici un pantalon, ça doit vous aller, prenez une cabine » . Concrètement, vous vous retrouver dans un endroit transformé pour l’occasion en boutique de fringue avec pour toute intimité, un rideau de merde bien pourri. Rien de notable me direz vous, mais pour un pisseux c’est un challenge. Enlever son pantalon, se retrouver en couches, enfiler leur futal de merde, c’est pas la panacée. Surtout qu’à cet instant, vous vous apercevez que son scan a du beugguer. La couche passe pas du tout. Je retourne voir la taulière en lui disant « euh , à mon avis, c’est plutôt une ou 2 tailles au dessus qu’il faut. Dubitative elle vous rescanne avec plus d’attention. Je la vois bien décontenancée, car je suppose qu’elle détermine toujours la même taille. Elle lâche enfin du lest et me file une taille au dessus. Cerise sur le gâteau, lorsque vous avez enfin trouvé votre taille, vous arrivez fièrement avec votre pantalon « bosse apparente » devant la responsable en arborant un large sourire et d’ajouter « c’est Bon ». Vous pensez que l’expérience touche à sa fin, prêt à tourner les talons, quand elle vous assène: « je dois mesurer votre entrejambe » . Le coup de grâce car, chez moi, l’entrejambe c’est de la couche au sol. Autant vous dire que bien d’expérimenté en matière de honte, j’ai un peu souffert ce jour là.
La seconde anecdote est liée à la médecine. J’ai eu récemment quelques soucis de santé. Un AVC de l’oeil pour être précis. J’ai donc fait donc le tour des popotes et spécialistes de tous poils pour voir si je vais mourir bientôt (ou pas) . Mon médecin traitant reste un type formidable, et à ce titre je ne lui ai jamais caché mes pérégrinations pisseuses. Je l’ai autorisé à noter ces interventions « hors norme » dans mon dossier médical. Ce qui est drôle, c’est que lorsque vous allez voir des spécialistes, ce dernier (ou un des médecins du cabinet auquel il collabore) évoque bien évidemment les antécédents médicaux dans l’ordonnance. Lorsque j’ai failli mourir ce 23 Avril dernier(je blague) , je me rends chez mon Ophtalmologue en urgence. Puis je bifurque direction le cabinet médical. Je ne vois pas mon médecin traitant mais un autre. Un certain docteur Sophie B. Elle me reçoit et accède bien sur à ces antécédents. Me conseille 8 jours d’arrêt de travail et me prescrit un rdv chez un cardiologue. Dans son ordonnance, elle n’omet pas de mentionner ces interventions singulières :Sphincterotomie col vésical, RTUP prostate, élargissement du col. Cela a bien évidemment aiguisé la curiosité de cette cardiologue (encore une femme) que j’ai vu il n’y a pas si longtemps. Cette dernière à voulu en savoir un peu plus (sans vraiment sembler le montrer). Alors que mes antécédents n’ont aucun rapport avec ma pathologie, elle a cherché à me tirer les vers du nez sur ces actes singuliers. Elle m’a demandé si ces interventions étaient récentes. « Ba nan pas vraiment ! » lui ai-je répondu un peu interloqué. Ce qui n’est pas faux. Cela ne lui a pas empêché de reprendre dans son compte rendu, l’ensemble de mes antécédents médicaux, adressé à mon ophtalmologiste. Ce dernier que j’ai revu récemment ne m’a d’ailleurs posé aucune question sur ces antécédents. Il avait lu le compte rendu mais je pense qu’il s’en branle royal. Ah les femmes !!

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